ALLIANCE AFRIQUE – EUROPE
La Commission européenne propose une nouvelle alliance Afrique – Europe pour les investissements durables et le chômage qui a le but de stimuler de manière substantielle les investissements en Afrique, créer emploi, renforcer les échanges commerciaux et investir dans les compétences et dans l’ éducation . Les projets d’aujourd’ hui s’appuient sur les engagements pris pendant le sommet Union africaine – Union européenne qui a eu lieu à Abidjan le novembre de l’ année dernière, en occasion duquel les deux continents ont décider de renforcer le leur partenariat . Ceci indique les principales lignes d’ action en faveur d’un programme économique plus solide pour l’ UE et ses partenariats africains .
L’ Union Européenne, plus de la Chine et des États Unis aujourd’ hui, vende t exporte en Afrique : par exemple, “ les investissement étrangers en Afrique sont de 40 % pour l’ Europe, de 5 % pour la Chine ”.
En outre, le groupe de travail, lancé en Mai 2018 de la Commission européenne, a été créée pour donner des opinions et des conseils en ce qui concerne le renforcement du partenariat Afrique – Europe pour l’ alimentation et l’ agriculture . La Commission européenne assurera l’ actuation de différentes actions conseillées par ce groupe d’ experts pour soutenir le développement du secteur agroalimentaire et de l’ économie rurale d’ Afrique .
Dans ces quatre années de travail de la Commission Juncker, un partenariat d’ égaux avec le continent le plus proche à l’Europe, dont le développement et la sécurité garantissent aussi ceux de l’ Europe, s’est développée, dit l’ haut représentant Federica Mogherini en conférence de presse à Bruxelles, en présentant la nouvelle “ Alliance Afrique – Europe ” pour les investissements durables et le travail . Aussi le président Jean Claude Junker a parlé, peu de temps avant, de cette alliance dans l’ État d’Union . Après le plan d’ investissements privés lancés il y a deux ans, maintenant on travaille pour consolider, développer et renforcer .
La Commissaire responsable pour le Commerce, Cecilia Malmström, dit : « l’ entrée en vigeur de la zone continentale de libre échange montre la détermination de nos partenariats africaines à favoriser les possibilités commerciales dans le continent . L’ UE et l’Afrique sont des partenariats fondamentaux pour le commerce et les investissements . Cette étape historique nous rapproche encore à une plus grande intégration économique UE – Afrique, un objectif clé de l’ alliance Afrique – Europe ».
Le Commissaire responsable de la Coopération internationnelle et le développement, Neven Mimica, soutient que : “il s’ agit d’un grand pas pour l’ intégration économique de l’ Afrique, pour ça je me félicite avec nos partenariats africaines . L’ UE soutient la zone continentale de libre échange dès son istitution, sois sur le plan politique que technique, et avec les sources financières qui dépassent 60 millions d’ euros . Ceci est le pilier de l’ alliance Afrique – Europe, vu que le commerce et les marchés intégrés en Afrique favoriseront les investissements durables et la création d’ emploi .”
Les priorités de cette nouvelle coopération seront les énergies renouvelables et les transports, les jeunes, l’ amélioration du climat des investissements pour encourager les sources locales, l’ amélioration des relations commerciales intra – africaines et avec l’ Europe .
La proposition d’ aujourd’hui montre l’ engagement à renforcer le partenariat Afrique – EU et elle décrit une série d’ actions clé entre autres :
• investir dans les personnes à travers les investissements dans les compétences et dans l’ éducation, à niveau International et National, pour améliorer le chômage et adapter les compétences à l’ offre d’ emploi ; aussi à travers les bourses d’études et les programmes d’ échange, comme par exemple dans le cadre d’ Erasmus + ;
• promouvoir les investissements strategiques et renforcer le rôle du secteur privé, en particulier en réduisant beaucoup les risques liés aux projets d’ investissement à travers la combinaison de prêts et l’ offre de garanties et subventions ;
• renforcer le background d’ entreprise et promouvoir un climat plus favorable aux investissements, surtout en intensifiant le dialogue avec les partenariats africaines et en soutenant les réformes dans le secteur ;
• exploiter complètement le poténtiel de l’ intégration économique et des échanges commérciaux : sur la base de l’ actuation de la zone continentale de libre échange pour l’ Afrique, la perspective à long terme est celle de conclure un grand accord intercontinental de libre échange entre EU et Afrique . À cet effet, il faut exploiter au maximum les accords de partenariat économique, les accords de libre échange, les zones de libre échange globales et les propositions détaillées aux Pays de l’ Afrique du Nord comprises, et d’ autres régimes commérciaux avec l’ UE, comme les éléments constitutifs de la zone continentale de libre échange pour l’ Afrique .
• Mobiliter un considérable paquet de sources financières, comme en particulier, la proposition pour le prochain cadre financier pluriannuel de l’ UE sur les financements extérieurs montre, dans lequel l’ Afrique est considérée comme une région prioritaire .
La consultation et le dialogue avec les partenariats africains seront organisés dans les prochains mois pour définir les priorités et adopter nouvelles mesures conjointement . L’ alliance va tenir compte de la diversité du continent africain et des spécificités de chaque Pays, relations contractuelles des Pays de l’ Afrique du Nord dans le domaine des respectifs accords d’association comprises et leur expérience en matière de coopération avec l’ UE dans le cadre de la politique européenne de voisinage .
SOURCES ARTICLES
https://www.agensir.it/quotidiano/2018/9/14/commissione-ue-nuova-alleanza-africa-europa-sul-modello-del-piano-juncker-di-investimenti/
http://europa.eu/rapid/press-release_IP-18-5702_it.htm